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vendredi 27 février 2009

Le magazine de COL : Parachat Terouma

Le magazine de COL : Parachat Terouma PDF Imprimer E-mail
Publications - Divers
Écrit par www.hassidout.org
Jeudi, 26 Février 2009 23:09


Le cirque de Chouchan, jeudi 5 mars 2009 à 20h00


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Écrit par www.hassidout.org
Lundi, 02 Février 2009 12:45

Mazal Tov ! Mariage de Elyahou Illouz et Sterna Atlan


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Mazal Tov - Hatan-Kalla
Écrit par www.hassidout.org
Vendredi, 26 Décembre 2008 14:56

Photos : Hillel Amram

שלומי דאסקל מבצע ניגון שמחה חב"די ● להאזנה

שלומי דאסקל מבצע ניגון שמחה חב"די ● להאזנה

באלבום שירי חתונה שמוציא בימים אלו שלומי דאסקל מבצע ניגון חב"ד. זאת לא הפעם הראשונה שזמרים שלא שייכים לחב"ד מקליטים ניגונים וזאת לאחר המהפכה שעשה אברהם פריד עם הקלטת הניגונים באיכות כמו שרק הוא יודע. הניגון באלבומו של דאסקל הוא בעצם 'ניגון שמחה' שהקליט לפני כמה שנים יוני שלמה באלבומו שאמיל. דאסקל חסיד ויזניץ בתגובה ל-COL מוסר שכאשר הקשיב לניגון לראשונה באלבומו של שלמה הוא מיד התלהב והחליט יום אחד להקליטו באחד האלבומים "והגיע היום" הוא אומר עם חיוך להאזנה
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יום שישי, ג' אדר ה'תשס''ט
לכתבה המלאה

גלריה השבועית מבית חיינו ● פרשת תרומה

הגלריה השבועית מבית חיינו ● פרשת תרומה

חב"ד אינפו מתכבד להגיש לציבור הגולשים את הגלריה השבועית מבית חיינו. השבוע החולף - פרשת תרומה, מביא לכם עוד שבוע עמוס ומחיה של אוירה תוססת וריקודי שמחה לרגל חודש אדר לצד סדרי הלימודים בין כותלי בית משיח הבית הנצחי - בית מדרשו של הרבי שליט"א מלך המשיח ● צלם המערכת אסף את הרגעים המיוחדים וחזר עם תיעוד חי במבחר של תמונות מחיות אשר בלחיצה קלילה יתנו לכם לנחות היישר אל אווירת סעוון סעוונטי ● לגלריה השבועית

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jeudi 26 février 2009

אוסטרליה: הגן הוקדש לע"נ בני הזוג הולצברג

אוסטרליה: הגן הוקדש לע"נ בני הזוג הולצברג

"גן גבי ורבקי הולצברג", זהו שמו של גן חב"ד בבנטלי אחד מפרברי מלבורן שבאוסטרליה. הגן הוקדש לעילוי נשמת בני הזוג הולצברג שנרצחו על קידוש ה' בבית חב"ד בבומביי, ושלט הנצחה נקבע בפתח הגן, כאשר הרב נחמן הולצברג אביו של הרב גבריאל הי"ד הוזמן לקבוע את השלט. במהלך האירוע נשא הרב הולצברג דברים נרגשים, והודה בחום לתורמים שזכרם של בנו וכלתו יקר להם והחליטו לדאוג להנצחת שמם.


Conférence du Rav Binyamin Mergui sur le thème "Pourim et la Cacherout", dimanche 1er mars 2009


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France - Banlieues - Engihen-le-Bains
Écrit par www.hassidout.org
Mercredi, 25 Février 2009 16:00

Mazal Tov ! Hanahat tefilines de David Hailou Hababou 29 Chevat 5769 au Heder Loubavitch


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Mazal Tov - Hanahat Tefilines
Écrit par www.hassidout.org
Jeudi, 26 Février 2009 15:56

Lectures de la Meguila


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France - Paris - Paris 9 Beth Loubavitch
Écrit par www.hassidout.org
Jeudi, 26 Février 2009 13:32

pour le Beth 'Habad de Sarcelles 06.62.26.97.70

mardi 24 février 2009

Le récit de la semaine : "un médecin ami"


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Magazine - Récits
Écrit par www.hassidout.org
Lundi, 23 Février 2009 20:05

Emissaire du Rabbi à Netanya, Rav Netanel Dreyfus a conservé des liens étroits avec la communauté juive française dont il est issu.

J’étais une fois invité un Chabbat à Paris chez un ami Loubavitch, un médecin spécialiste et je lui racontais des histoires extraordinaires du Rabbi.

Il me fit remarquer que je n’avais sans doute pas entendu parler de ce qui lui était arrivé personnellement :

«Alors que mon épouse était enceinte, on découvrit qu’elle était affectée d’une maladie cardiaque sévère mais rare. Le diagnostic était pessimiste, aussi bien pour elle que pour l’enfant qu’elle portait. J’écrivis immédiatement au Rabbi qui me répondit de "prendre conseil auprès d’un médecin-ami spécialiste de la chirurgie cardiaque infantile".

Jusqu’à la réception de cette lettre, j’ignorais même qu’il existait une telle spécialisation. Et, bien entendu, j’ignorais à qui m’adresser : qui pouvait être en même temps un médecin-ami et un spécialiste de la chirurgie cardiaque infantile ? Ce qui était clair, c’est que des capacités particulières étaient nécessaires.
Je passais en revue, mentalement, les noms de tous mes camarades des bancs de la faculté de médecine pour tenter d’en retrouver un qui soit particulièrement doué.
Soudain, je me suis souvenu d’un étudiant, vraiment brillant : à chaque cours, il proposait aux professeurs des solutions judicieuses et originales. C’était lui qu’il me fallait retrouver. Mais comment ? Je m’adressai à la direction de l’université mais on refusa de me donner ses coordonnées : il était devenu un grand spécialiste, très difficile à contacter.
Quand j’expliquai au directeur de l’université qu’il s’agissait d’une urgence extrême, il consentit à prendre mes coordonnées et à les transmettre à ce médecin : s’il le désirait, ce serait lui qui me contacterait.
J’attendis nerveusement la suite : heureusement, il me téléphona et me demanda pourquoi j’avais cherché à le joindre. Je lui demandais quelle était maintenant sa spécialité et il répondit : la chirurgie cardiaque infantile. J’étais stupéfait de la façon dont le Rabbi m’avait amené jusque là. Je lui expliquai la situation de mon épouse et il répondit que ce cas n’était pas de son ressort puisqu’il n’opérait pas des adultes. J’ai insisté et je lui expliqué – à lui qui n’était pas juif – que j’avais reçu des instructions spécifiques de notre grand Rabbi à New York, qui était connu, entre autres, pour ses réalisations miraculeuses.
Pensif, il finit par déclarer : «Ecris à ton Rabbi que tu m’as retrouvé ; donne-lui mon nom : si ton Rabbi prend la responsabilité de l’opération, je suis prêt à l’effectuer sans me porter du tout garant de son succès car, comme tu le sais, ma spécialité ne s’étend pas aux adultes». (Autant que je le sache, ce médecin n’avait jamais entendu parler du Rabbi !)

Le Rabbi envoya son accord, le médecin opéra et voici l’enfant qui est né quelques mois plus tard ! D.ieu merci, mon épouse s’est également très bien remise !
Et il y a une suite à cette histoire : quelques années plus tard, un autre cas similaire se présenta : un non-Juif avait besoin d’une opération cardiaque délicate. Ce non-Juif s’adressa à mon ami qui répondit – comme à moi – qu’il n’opérait pas les adultes. Le malade insista : «J’ai entendu que vos opérations étaient couronnées de succès et je n’aurais confiance qu’en vous ! Faites une exception pour moi !»
Ce médecin eut alors une idée. Il me téléphona : «J’ai quelque chose de très spécial à te demander, déclara-t-il tout de go. On me demande d’effectuer exactement la même opération que j’ai effectuée sur ton épouse. Je n’accepterai de la faire que si ton Rabbi m’accorde encore une fois sa bénédiction !»
J’ai transmis cette demande inédite au Rabbi qui donna son accord. L’opération fut un succès !

Rav Netanel Dreyfus
Kfar Chabad n°1315
traduit par Feiga Lubecki

lundi 23 février 2009

Dites «Bonjour!» et changez le monde !


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Magazine - Judaisme
Écrit par www.fr.chabad.org
Lundi, 23 Février 2009 18:10



Adapté des enseignements du Rabbi de Loubavitch

par Yanki Tauber

www.fr.chabad.org

Pourquoi sommes-nous là ? Cette question – la source de toutes les questions – a été successivement traitée par les diverses écoles de pensées de la Torah, chacune selon sa propre optique.

Le Talmud déclare, simplement et succinctement, «J’ai été créé pour servir mon Créateur.» Les œuvres moralistes du Moussar décrivent le but de la vie comme étant de raffiner ses traits de caractère. Le Zohar dit que D.ieu nous a créés « afin que Ses créatures Le connaissent. » La maître kabbaliste Rabbi Isaac Louria donna la raison suivante pour la création : D.ieu est l’essence du bien, et la nature du bien et de prodiguer le bien. Mais le bien ne peut être prodigué si personne n’est là pour le recevoir. D.ieu a ainsi créé notre monde pour qu’il y ait quelqu’un qui reçoive Sa bonté.

L’enseignement ‘hassidique explique que toutes ces raisons, ainsi que celles que l’on trouve dans d’autres ouvrages kabbalistiques et philosophiques, sont toutes des facettes différentes d’un même désir divin de la création, tel qu’il se décline dans les différents « mondes » ou domaines de la création. Le ‘Hassidisme offre également sa propre formulation de ce désir divin : que nous « fassions une demeure pour D.ieu dans le monde matériel. »
Une demeure pour D.ieu

Que signifie faire de notre monde une demeure pour D.ieu ? (Lire la suite)

Une des principes essentiels de notre foi est que « le monde entier est rempli de Sa présence » et qu’« il n’est pas un endroit vide de Lui ». Il ne s’agit donc pas de faire venir D.ieu dans le monde matériel : Il s’y trouve déjà. Mais D.ieu peut se trouver dans le monde sans y être « chez Lui ».

Être « chez soi » signifie être dans un lieu qui réceptif votre présence, un lieu dédié à satisfaire vos désirs et pourvoir à vos besoins. C’est être quelque part où vous pouvez être le « vrai vous », contrairement à l’attitude « publique » que vous empruntez en d’autres circonstances.

Le monde matériel, dans son état naturel, n’est pas un environnement hospitalier pour D.ieu. S’il y a un point commun entre toutes les choses matérielles, c’est bien leur égocentrisme intrinsèque, l’établissement de l’ego en tant que fondement et but de leur existence. Avec chaque iota de sa masse, la pierre proclame : « je suis. » Chez l’arbre comme chez l’animal, la préservation et la reproduction de soi est au centre de chaque instinct et est l’objet de chaque développement, de chaque action. Et qui plus que l’être humain a fait de l’ambition un art, et du carriérisme un idéal universel ?

Le seul problème de tout cet égoïsme, c’est qu’il masque la vérité sous-jacente à l’existence : la vérité selon laquelle la création n’est pas une fin en elle-même, mais le produit et le vecteur de son Créateur. Et cet égocentrisme n’est pas un aspect marginal ou secondaire de notre monde, mais sa caractéristique la plus fondamentale. Dès lors, pour faire de notre monde une « demeure » pour D.ieu, c’est sa nature même que nous devons transformer. Nous devons reconstruire les fondements mêmes de son identité et donner à cette entité égocentrique une existence vouée à un dessein qui la dépasse.

Chaque fois que nous saisissons un objet matériel ou que nous utilisons une aptitude et que nous les engageons dans le service de D.ieu, nous opérons une telle transformation. Quand nous prenons un morceau de cuir et en faisons une paire de Téfilines, quand nous prenons une pièce de monnaie et la donnons à la charité, quand nous employons notre esprit à l’étude d’un chapitre de Torah, nous opérons une telle transformation. Le morceau de cuir qui disait à l’origine « J’existe », dit maintenant « J’existe pour servir mon Créateur ». Une pièce dans une poche dit « J’aime l’argent » ; dans une boite de charité, elle dit « Le but de la vie n’est pas de recevoir, mais de donner. » Le cerveau humain dit « Enrichis-toi » ; le cerveau qui étudie la Torah dit « Connais ton Créateur. »
La frontière du moi

Notre effort de faire de notre monde une résidence pour D.ieu se décline en deux étapes. La première est de faire des ressources matérielles « un réceptacle pour la Divinité » : façonner le cuir en Téfilines, donner l’argent à la charité, programmer du temps pour l’étude de la Torah. La seconde consiste à employer effectivement ces « réceptacles » à la réalisation de la volonté divine : attacher les Téfilines sur le bras et sur la tête, utiliser l’argent donné à nourrir les affamés, étudier la Torah, etc.

À première vue, il semble que la deuxième étape soit la plus importante, alors que la première ne fait que permettre la seconde. Mais, lorsque la Torah évoque la première demeure pour D.ieu construite dans notre monde, elle insiste beaucoup plus sur la construction de la « demeure » que sur son utilisation effective comme résidence divine.

Une partie importante du livre de l’Exode est dédiée à la construction du Sanctuaire érigé par les enfants d’Israël dans le désert. Sur ce sujet, la Torah, généralement économe de ses mots au point que de nombreuses lois sont parfois contenues dans un seul mot, voire une seule lettre, est inhabituellement prolixe. Les quinze matériaux employés à la construction du Sanctuaire sont énumérés à trois reprises ; ses éléments et ses ustensiles, huit fois ; et chaque détail de l’édification du Sanctuaire, depuis les dimensions de chaque panneau de bois, de chaque pilier, jusqu’à la couleur de chaque tapisserie, est explicité non pas une, mais deux fois, d’abord dans le récit du commandement de D.ieu à Moïse, puis de nouveau dans le récit de la construction du Sanctuaire.

En tout, ce sont treize chapitres qui décrivent comment certains matériaux appartenant au monde physique furent façonnés en un édifice consacré au service de D.ieu, ainsi que la formation des Kohanim (prêtres) qui devaient y officier. (Par contraste, la Torah ne consacre qu’un unique chapitre au récit de la création de l’univers, trois chapitres à la description de sa révélation au mont Sinaï et onze chapitres à l’histoire de l’Exode.)

Le Sanctuaire est le modèle et le prototype de toutes les demeures ultérieures de D.ieu, construites sur le sol terrestre. Ainsi, la considérable importance attribuée à l’étape de sa « construction » (contrairement à l’étape de la « mise en œuvre ») implique que, dans notre vie également, transformer nos ressources personnelles en éléments ayant le potentiel de servir D.ieu est quelque chose de fondamental. Faire de nous-mêmes des « réceptacles » pour la Divinité est, en un certain sens, plus important que d’apporter effectivement la Divinité dans notre vie.

Car là le véritable enjeu de la transformation : le passage d’un être centré sur lui-même à un être dévoué à quelque chose de plus grand que lui. Si D.ieu avait seulement désiré un environnement hospitalier, Il n’avait pas besoin d’un monde matériel ; un monde spirituel aurait pu tout aussi bien Le servir. Ce que D.ieu désirait était la transformation elle-même : le défi et l’accomplissement de la transcendance du moi et de la redéfinition de la matérialité. Cette transformation et cette redéfinition s’effectuent lors de la première étape, lorsque l’objet matériel est fait instrument du divin. La seconde étape consiste seulement à réaliser un potentiel déjà établi, en donnant à l’objet ce qui est désormais son usage naturel.
Faire des réceptacles

Vous rencontrez une personne qui n’a pas encore invité D.ieu dans sa vie. Une personne dont les entreprises et accomplissements – quelque prospères et louables qu’ils soient – n’ont pas encore transcendé son moi et ses desseins égocentriques.

Vous voulez élargir son horizon, lui montrer le chemin d’une vie qui dépasse les restrictions du moi. Vous souhaitez mettre les Téfilines avec lui, partager la sagesse divine de la Torah avec elle.

Mais cette personne n’est pas prête. Vous savez que le concept du service de D.ieu lui est encore étranger dans une vie habituée et conditionnée à tout considérer à travers le spectre de l’ego. Vous savez qu’avant de pouvoir lui faire découvrir le monde de la Torah et des Mitsvot, vous devez d’abord la rendre réceptive au divin, à une vie d’intimité avec le divin.

Ainsi, quand vous la rencontrez dans la rue, vous souriez simplement et dîtes « Bonjour! » Vous l’invitez chez vous à prendre un café ou à un repas de Chabbat. Vous parlez de tout et de rien. Vous ne suggérez aucun changement dans son mode de vie. Vous voulez simplement que cette personne soit ouverte à vous et à ce que vous représentez.

Apparemment, vous n’avez rien « fait ». Mais profondément, une transformation essentielle et radicale a eu lieu. La personne est devenue un « réceptacle » pour la Divinité.

Bien sûr, le but d’un récipient est d’être rempli avec un contenu ; le but d’une maison est d’être habitée. Le Sanctuaire fut érigé pour abriter la Présence de D.ieu. Mais c’est la fabrication des réceptacles de la Divinité qui présente le plus grand défi de la vie et son accomplissement le plus révolutionnaire.

La Sidra de la Semaine : Parachat Terouma

La Sidra de la Semaine : Parachat Terouma PDF Imprimer E-mail
Écrit par www.hassidout.org
Lundi, 23 Février 2009 17:27