Magazine - Editorial | |
Lundi, 25 Juin 2012 14:40 | |
Il faut aussi relever que, chronologiquement, les événements du 12 Tamouz arrivèrent en Union soviétique, au vingtième siècle, tandis que ceux du 17 Tamouz remontent à l’antiquité. Pourtant, dans le déroulement du calendrier, le 12 Tamouz intervient, par définition, avant le 17. N’y aurait-il pas dû y avoir ici une sorte de plus grande cohérence ? Si toute date est le fait de la Providence Divine, les événements n’auraient-ils pas dû se produire dans un ordre inverse ? C’est justement dans cette interrogation que tient la réponse. A tout drame, il faut un remède. Et, plus le drame est grand, plus le remède doit l’être. La bonté de D.ieu est infinie ; cela veut dire aussi que, parfois, Il envoie le remède avant même le drame. C’est ainsi qu’il faut comprendre la succession d’événements : le 17 Tamouz est une tragédie mais le 12 est une victoire éternelle. Celle-ci arrive d’abord dans le calendrier des souvenirs et des célébrations car elle ne fait pas que nous permettre de surmonter l’épreuve, elle est une clé pour l’avenir. La liberté est devant nous, nous dit-elle, il nous appartient d’en franchir les portes. Par la venue de Machia’h. Haim Nisenbaum |
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lundi 25 juin 2012
L'éditorial de Haim Nisenbaum : "Le remède avant l’épreuve"
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