BIENVENUE

SIMHA

SIMHA

RAV BITTON

RAV BITTON

RABBI

RABBI
"Une image peut faire plus que mille mots..."
(Le Rabbi , 1990)

Vidéo du Rabbi

הרבי מליובאוויטש: ניגון שמחה

Calendrier des horaires de Chabbat et jours de fêtes Année 5780 (2019-2020)

CLIP GALA 2017

VIDEO LILDVD

vendredi 18 février 2011

Pourim katan

Pourim katan PDF Imprimer Envoyer
Magazine - Calendrier
Lundi, 14 Février 2011 17:58
wikipédia.com


Pourim katan (hébreu : פורים קטן «petit Pourim») et Chouchan Pourim katan (hébreu : שושן פורים קטן « petit Pourim de Suse ») sont deux festivités juivesmineures, d’institution rabbinique.
Observées les quatorzième et quinzième jours du premier mois d’adar lors des années embolismiques du calendrier juif, ces dates sont marquées par quelques coutumes de joie, dont l’omission du tahanoun et la tenue d’un festin. Elles ont généralement lieu au cours du mois de février dans le calendrier grégorien.

Pourim katan et Chouchan Pourim katan dans les sources juives

Dans la Mishna et le Talmud
Pourim katan et Chouchan Pourim katan sont nés des contingences relatives au calendrier hébraïque. La Bible prescrit en effet de célébrer Pessa'h au mois de l’Aviv selon un calendrier lunaire de douze mois, qui présente un décalage d’environ onze jours avec l’année solaire. Les Sages ont donc institué l’intercalation d’un second mois d’adar afin que Pessa'h ait toujours lieu au printemps. Or, les quatorzième et quinzième jours du mois d’adar célèbrent d’ordinaire le miracle de Pourim, relaté dans le Livre d’Esther et observé par diverses coutumes et ordonnances.
Devisant de la prescription de lire le rouleau d’Esther, ils décrètent qu’elle doit être obligatoirement réalisée au second mois d’adar et non au premier. En effet, bien que le Livre d’Esther date le miracle du douzième mois à compter de nissan (soit au premier des deux mois d’adar), les Sages ont voulu « rattacher la délivrance de Mardochée à celle de Moïse ». Ils ont par ailleurs tiré du commandement de la lire « chaque année » qu’elle n’était lue qu’une fois par an.
Les Sages distinguent encore le premier adar du second par le fait que la prescription de donner aux pauvres n’est en application qu’au second mois. Les rabbins, élaborant sur cette clause, en concluent que, bien qu’inégaux du point de vue des manifestations positives de joie (dons aux pauvres, envois de colis alimentaires entre amis), les fêtes du premier mois sont égales aux fêtes du second mois eu égard à l’interdiction des manifestations de tristesse (jeûne, oraison funèbre, …) Lire la suite
Lire la suite...

Aucun commentaire: