Merveilles et prodiges en 5770
Miracles vécus grâce
aux Igueroth Kodech
aux Igueroth Kodech
Reportages réalisés par Rav David Tordjman
Igueroth Kodech
Dvar Mal'hout A'harei-Kedochim 5770
Dvar Mal'hout A'harei-Kedochim
La Guéoula : La délivrance véritable et complète en 5770
La Guéoula : La délivrance véritable et complète en 5770
Le Dvar Mal'hout de cette année 5770
Kountrass Beit Rabbénou :
Jérusalem en 5770
Le Beit HaMikdach,
le 3ème Temple
Le Beit HaMikdach,
le 3ème Temple
Résumé du Dvar Mal'hout A'harei Kedochim 5751
L'Edit Royal
Dvar Malkhout
Résumé de « A’hareï-Kedochim »
DU RABBI MELEKH HAMACHIA’H
CHABBAT 13 IYAR 5751
La Guéoula dans le Kodech HaKodachim
Au début de la Paracha A’harei, est décrit le service du Cohen-Gadol, le Grand-Prêtre dans le Kodech HaKodachim (le Saint des saints) « Ainsi viendra Aharon dans le Kodech etc. »
Il s’agit d’un exemple en miniature de ce que sera la délivrance : Le Cohen-Gadol dans le Kodech HaKodachim. Le Kodech HaKodachim est l’endroit le plus sacré au monde. C’est l’endroit dans lequel la divinité brille de manière dévoilée (sans caches, ni voiles). En même temps, c’était un endroit réel dans le monde, et le Cohen-Gadol y pénétrait en tant qu’âme vêtue d’un corps [contrairement au cas de Nadav et de Avihou, le « Ratso », l’aspiration métaphysique sans le « Chov », le retour vers la matière].
Dvar Malkhout
Résumé de « A’hareï-Kedochim »
DU RABBI MELEKH HAMACHIA’H
CHABBAT 13 IYAR 5751
La Guéoula dans le Kodech HaKodachim
Au début de la Paracha A’harei, est décrit le service du Cohen-Gadol, le Grand-Prêtre dans le Kodech HaKodachim (le Saint des saints) « Ainsi viendra Aharon dans le Kodech etc. »
Il s’agit d’un exemple en miniature de ce que sera la délivrance : Le Cohen-Gadol dans le Kodech HaKodachim. Le Kodech HaKodachim est l’endroit le plus sacré au monde. C’est l’endroit dans lequel la divinité brille de manière dévoilée (sans caches, ni voiles). En même temps, c’était un endroit réel dans le monde, et le Cohen-Gadol y pénétrait en tant qu’âme vêtue d’un corps [contrairement au cas de Nadav et de Avihou, le « Ratso », l’aspiration métaphysique sans le « Chov », le retour vers la matière].
Dvar Mal'hout A'harei-Kedochim
L’Edit Royal
Dvar Mal’hout
Chabbat Parachat A’harei-Kedochim
13 Iyar 5751
La Délivrance
véritable et complète
Dans les discours précédents, nous avons parlé de la Délivrance messianique que nous attendons chaque jour et de la tâche que chacun doit accomplir afin de la déclencher. Suite à cela, il est opportun de clarifier la notion même de Délivrance, ce qui aidera à comprendre quel doit être le travail de chacun pour la faire venir et permettra de s’y préparer.
Dvar Mal’hout
Chabbat Parachat A’harei-Kedochim
13 Iyar 5751
La Délivrance
véritable et complète
Dans les discours précédents, nous avons parlé de la Délivrance messianique que nous attendons chaque jour et de la tâche que chacun doit accomplir afin de la déclencher. Suite à cela, il est opportun de clarifier la notion même de Délivrance, ce qui aidera à comprendre quel doit être le travail de chacun pour la faire venir et permettra de s’y préparer.
Editorial n°63
5770 : La référence !
En ces jours qui démontrent la grandeur de la Guéoula, qui progressent et nous font entrer dans ce monde de lumière, il est clair que c’est le moment de nous plonger dans l’étude du Dvar Mal’hout de la manière la plus forte afin de dévoiler en nous le sens de la vision, celui de l’audition et bien sûr, celui du sentiment. Le sentiment que nous touchons au but, celui de savoir et de ressentir profondément que la vérité est là, juste derrière la porte. Pour celui qui étudie, il est évident que cette porte doit être ouverte pour laisser pénétrer chez nous et en nous, la saveur de la délivrance. Mais pour celui qui a déjà ouvert la porte depuis bien longtemps, la réalité dépasse l’imaginaire et déjà, les voies de la nature ne sont plus qu’une source d’admiration et d’enthousiasme.
En ces jours qui démontrent la grandeur de la Guéoula, qui progressent et nous font entrer dans ce monde de lumière, il est clair que c’est le moment de nous plonger dans l’étude du Dvar Mal’hout de la manière la plus forte afin de dévoiler en nous le sens de la vision, celui de l’audition et bien sûr, celui du sentiment. Le sentiment que nous touchons au but, celui de savoir et de ressentir profondément que la vérité est là, juste derrière la porte. Pour celui qui étudie, il est évident que cette porte doit être ouverte pour laisser pénétrer chez nous et en nous, la saveur de la délivrance. Mais pour celui qui a déjà ouvert la porte depuis bien longtemps, la réalité dépasse l’imaginaire et déjà, les voies de la nature ne sont plus qu’une source d’admiration et d’enthousiasme.
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