Editorial n°52
5770 : L’Essence de D.ieu se dévoile en chacun de nous !
Cette semaine, dans le Dvar Mal’hout « Bo 5752 » le Roi Machia’h nous invite à faire le lien entre la Paracha « Bo El Paro, viens chez Pharaon » et la Guéoula. Mais il nous invite aussi à faire le lien entre la rencontre de Moché avec le tyran d’Egypte et le Youd Chevat, la Hilloula du Rabbi Yossef Its’hak, le Fridike Rebbe, le Rabbi précédent, nommé par le Rabbi, Roi Machia’h : « Le Machia’h Ben Yossef ».
Mais qui est ce Pharaon, pour qu’une Paracha de la Torah, adopte son nom « Viens chez Pharaon » (selon le Rambam), le Pharaon d’après la ‘Hassidout est comme son nom l’indique le « Phare de la divinité » lorsque l’on se place du côté de sa racine spirituelle, « Celui dont toutes les lumières son allumées au-dessus de tout ordre et de toute logique », dit le Zohar. En fait Pharaon représente un dévoilement de l’Essence divine. Et c’est pour cela que D.ieu veut absolument créer l’événement de la rencontre entre le représentant du peuple Juif et ce niveau extrême de divinité se trouvant dans la maison de Pharaon. Et c’est pour cette même raison que Moché est terrorisé à l’idée de cette rencontre, au point que D.ieu, Lui-même, lui propose de l’accompagner.
Lorsque Moché arrive devant Pharaon, D.ieu aide Moché à supporter le fantastique dévoilement de divinité présent dans la maison de Pharaon, et c’est à ce moment-là que Moché acquiert la puissance de recevoir le Don de la Torah et de transmettre cette puissance à chacun des membres du Peuple d’Israël. Et le fait que l’Essence s’habille dans le corps de Moché prouve que la possibilité d’une telle chose peut exister, le sommet de la spiritualité dans la dimension la plus matérielle de l’homme, le corps. Et donc, la transmission devient possible, les enfants d’Israël peuvent supporter un tel dévoilement, d’une part lors du Don de la Torah sur le Mont Sinaï, et d’autre part, lors du dévoilement ultime de la délivrance véritable et complète.
Le Rabbi Rayats, le Moché Rabbénou de notre génération, lui, dans sa dernière année dans ce monde-ci, avait perdu l’usage de la parole, au point qu’un professeur en médecine le lui avait fait remarquer : « Comment un homme dont le rôle est de transmettre des discours ‘hassidiques au peuple Juif, peut-il perdre l’usage de la parole, l’outil le plus cher à l’accomplissement d’une telle œuvre ? ». Et justement, Moché, l’homme dont la parole a été l’outil le plus précieux dans toute l’histoire de l’humanité déclare au Saint béni soit-Il : « Je ne suis pas un homme de discours car ma bouche et ma langue me font défaut (Chemot 4.10) ». Or, Moché a été le premier libérateur du Peuple Juif de l’impossible exil d’Egypte et le Rabbi Rayats, lui, a été le détonateur de la délivrance et de l’arrivée du Rabbi, Roi Machia’h sur terre, malgré toutes les épreuves qu’il a enduré… Et chacun des deux a vécu une rencontre avec Pharaon, Moché avec le « Grand Serpent », et le Rabbi Rayats avec l’enfer de la Russie communiste, et de ce fait, le Rabbi Rayats nous a sauvé de l’exil de Rome et a provoqué le dévoilement du Roi Machia’h en donnant sa vie pour ce but-là.
Youd Chevat, le 10 Chevat 5770, c’est la Guéoula, car le 11ème jour du 11ème mois de l’année 5711, le Rabbi, Roi Machia’h né le 11 Nissan, est devenu le septième Rabbi de Loubavitch et « tous les septième sont chéris (Vaykra Rabba) », de même que Moché, le septième à partir d’Avraham notre père, a sauvé le peuple Juif de l’exil, de même, le septième Rabbi de Loubavitch nous a sauvé de l’exil et continue à nous sauver.
Celui qui veut entrer dans cette dimension n’a qu’à le faire, il suffit pour cela de se relier avec le Roi Machia’h en lui demandant des bénédictions, en acceptant le joug de sa royauté comme le Roi Machia’h l’a déclaré lors de la célèbre Si’ha du 2 Nissan 5748, en disant que nous devons élire notre Roi en s’écriant : « Vive le Roi ! », et nous disons tous, chantons, dansons pour célébrer ce grand moment de Hilloula le 10 Chevat et ce grand moment d’élection du Roi, le 11 Chevat 5770 en nous réunissant avec d’autres Juifs, d’autres frères, dans des chants, des danses et bien sûr, la sainte exclamation : « Vive notre seigneur, notre professeur, notre maître, le Roi Machia’h pour l’éternité… Vive le Roi Machia’h !!! »
Cette semaine, dans le Dvar Mal’hout « Bo 5752 » le Roi Machia’h nous invite à faire le lien entre la Paracha « Bo El Paro, viens chez Pharaon » et la Guéoula. Mais il nous invite aussi à faire le lien entre la rencontre de Moché avec le tyran d’Egypte et le Youd Chevat, la Hilloula du Rabbi Yossef Its’hak, le Fridike Rebbe, le Rabbi précédent, nommé par le Rabbi, Roi Machia’h : « Le Machia’h Ben Yossef ».
Mais qui est ce Pharaon, pour qu’une Paracha de la Torah, adopte son nom « Viens chez Pharaon » (selon le Rambam), le Pharaon d’après la ‘Hassidout est comme son nom l’indique le « Phare de la divinité » lorsque l’on se place du côté de sa racine spirituelle, « Celui dont toutes les lumières son allumées au-dessus de tout ordre et de toute logique », dit le Zohar. En fait Pharaon représente un dévoilement de l’Essence divine. Et c’est pour cela que D.ieu veut absolument créer l’événement de la rencontre entre le représentant du peuple Juif et ce niveau extrême de divinité se trouvant dans la maison de Pharaon. Et c’est pour cette même raison que Moché est terrorisé à l’idée de cette rencontre, au point que D.ieu, Lui-même, lui propose de l’accompagner.
Lorsque Moché arrive devant Pharaon, D.ieu aide Moché à supporter le fantastique dévoilement de divinité présent dans la maison de Pharaon, et c’est à ce moment-là que Moché acquiert la puissance de recevoir le Don de la Torah et de transmettre cette puissance à chacun des membres du Peuple d’Israël. Et le fait que l’Essence s’habille dans le corps de Moché prouve que la possibilité d’une telle chose peut exister, le sommet de la spiritualité dans la dimension la plus matérielle de l’homme, le corps. Et donc, la transmission devient possible, les enfants d’Israël peuvent supporter un tel dévoilement, d’une part lors du Don de la Torah sur le Mont Sinaï, et d’autre part, lors du dévoilement ultime de la délivrance véritable et complète.
Le Rabbi Rayats, le Moché Rabbénou de notre génération, lui, dans sa dernière année dans ce monde-ci, avait perdu l’usage de la parole, au point qu’un professeur en médecine le lui avait fait remarquer : « Comment un homme dont le rôle est de transmettre des discours ‘hassidiques au peuple Juif, peut-il perdre l’usage de la parole, l’outil le plus cher à l’accomplissement d’une telle œuvre ? ». Et justement, Moché, l’homme dont la parole a été l’outil le plus précieux dans toute l’histoire de l’humanité déclare au Saint béni soit-Il : « Je ne suis pas un homme de discours car ma bouche et ma langue me font défaut (Chemot 4.10) ». Or, Moché a été le premier libérateur du Peuple Juif de l’impossible exil d’Egypte et le Rabbi Rayats, lui, a été le détonateur de la délivrance et de l’arrivée du Rabbi, Roi Machia’h sur terre, malgré toutes les épreuves qu’il a enduré… Et chacun des deux a vécu une rencontre avec Pharaon, Moché avec le « Grand Serpent », et le Rabbi Rayats avec l’enfer de la Russie communiste, et de ce fait, le Rabbi Rayats nous a sauvé de l’exil de Rome et a provoqué le dévoilement du Roi Machia’h en donnant sa vie pour ce but-là.
Youd Chevat, le 10 Chevat 5770, c’est la Guéoula, car le 11ème jour du 11ème mois de l’année 5711, le Rabbi, Roi Machia’h né le 11 Nissan, est devenu le septième Rabbi de Loubavitch et « tous les septième sont chéris (Vaykra Rabba) », de même que Moché, le septième à partir d’Avraham notre père, a sauvé le peuple Juif de l’exil, de même, le septième Rabbi de Loubavitch nous a sauvé de l’exil et continue à nous sauver.
Celui qui veut entrer dans cette dimension n’a qu’à le faire, il suffit pour cela de se relier avec le Roi Machia’h en lui demandant des bénédictions, en acceptant le joug de sa royauté comme le Roi Machia’h l’a déclaré lors de la célèbre Si’ha du 2 Nissan 5748, en disant que nous devons élire notre Roi en s’écriant : « Vive le Roi ! », et nous disons tous, chantons, dansons pour célébrer ce grand moment de Hilloula le 10 Chevat et ce grand moment d’élection du Roi, le 11 Chevat 5770 en nous réunissant avec d’autres Juifs, d’autres frères, dans des chants, des danses et bien sûr, la sainte exclamation : « Vive notre seigneur, notre professeur, notre maître, le Roi Machia’h pour l’éternité… Vive le Roi Machia’h !!! »
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